Penché par une fenêtre
La tête vers le ciel
J'admire sans mal-être
Cette Beauté Originelle
Je laisse mon corps
Suspendu dans le vide
Voguer sur le chemin des morts
Et des espoirs candides
Le souffle du vent sur moi
M'emporte et me noie
Dans une onirie sans pareille
Où la lumière est ce soleil
La chaleur est douce
Je la sens me réchauffer
Mon coeur, cette jeune pousse
Qui commence a s'élever
Penché par une fenêtre
La tête dans le ciel
Je me laisse paraitre
Qu'ici bas, c'est pareil